Alors que je m'apprettais à courir, je me retrouva nez à nez avec un jeune homme à l'attitude féline.

Bonsoir, je suis Edward Cullen, un des fils de Carlisle et Esmée.

Je fus prise au dépourvu, tant pis la chasse attendra un peu. Je lui répondis avec jovialité.

Bonsoir, je suis Zafrina une amie de votre père. Heureuse de faire votre connaissance.

A sa réponse j'acquiescais poliment à la dite Zafrina. Elle avait l'air d'une de ces sauvageonnes que vous voyez partir à la chasse dans ces documentaires animaliers inintéressants en fin d'après midi.

Cette apparence montrait donc plutôt une personne différente de nous, en tout cas ne suivant pas le même régime que nous, c'était sûr. Peut-être une nomade. Avait-elle un clan à elle ? Je n'en savais rien. Non elle était seule, ou presque, pensais-je, captant ses pensées que j'avais du mal à déchiffrer.

Mon père ne devrait pas tarder comme a du vous le dire Esmée.

Je souriais à ma mère, plus resplendissante que jamais.

De retour de la chasse en solitaire, je m'arrêta devant la porte de ma maison. J’avais senti une odeur familière, une odeur que je connaissais depuis longtemps mais qui n’appartenait pas à ma famille.
J’ouvris la porte d’entré et vis ma charmante femme, qui était en compagnie de ma très chère amie Zafrina.

Je m’approcha d’Esmée et lui offris un baisé sur ses douces lèvres.
- Bonjour ma très chère Esmée, tu es toujours aussi belle, lui dis-je en lui adressant un petit sourire. Je lui murmurais à l’oreille, "je t’aime ma chérie".


Puis je m’approcha de Zafrina et lui fis la bise.

- Mais c’est ma charmante Zafrina, comment vas-tu ? Je suis content de te voir parmi nous. Tu a déjà fait connaissance avec ma charmante famille. J’espère qu’ils t'ont tous très bien accueilli.

Je serra Zafrina dans mes bras.
- Cela faisait longtemps que je ne t’avais pas vue , et tu vis toujours en Amazonie ?

Voyant que mon père était enfin rentré, je lançais un dernier regard destiné à ma mère, bienveillant, et décidait d'aller retrouver mes soeurs, enfin surtout Rosalie, en haut.

Avant que la situation avec les indiens ne se dégrade, elle m'avait indiqué son souhait d'avoir une discussion avec moi. J'y songeais. Evidemment j'avais capté son mal être, mais elle était une de ces personnes extrêmement renfermée, sur lesquelles il était trés difficile d'entendre facilement les pensées.

Mais je n'eu le temps de monter, que déjà, je vis Alice sortir par la baie vitrée de la pièce adjacente, et là, je perçus toutes les mauvaises ondes qui émanaient de son petit corps frêle. Je froncais les sourcils devant tant de mauvais karma et décidais de la suivre, Rosalie attendrait encore un peu.

Je quittais la maison à mon tour, saluant mes parents et leur hôte.


Carlisle, je dois y aller. A toute à l'heure.

Zafrina.


Déclarais-je ensuite en un hochement de tête en guise d'aurevoir.

Carlisle, je dois y aller. A toute à l'heure.

Zafrina. Me salua Edward poliment en sortant de la maison.
Je lui rendis sa gentillesse :

Edward.

Après avoir embrassé sa femme, Esmée-quel beau couple- mon vieil ami se retourna et me salua chaleureusement.

- Mais c’est ma charmante Zafrina, comment vas -tu ? Je suis content de te voir parmi nous. Tu a déjà fait connaissance avec ma charmante famille. J’espère qu’ils t'ont tous très bien accueilli.

Il me serra dans ses bras toujours aussi musculeux et je lui répondis.

Tes enfants sont très gentils et tu as une femme charmante. Tu as beaucoup de chance.

- Ca faisait longtemps que je ne t’avais pas vu , et tu vis toujours en Amazonie ?

Toujours aussi soucieux des autres comme lors de notre première rencontre, il m'avait aidé et aujourd'hui je devais encors lui demander de l'aide. Je lui répondis soucieuse.

Je vais bien dans la mesure du possible. J'ai dû quitter l'amazonie pour te demander de l'aide. Les humains se rapprochent de plus en plus du coeur de l'amazonie et je ne pourrais pas indéfiniment leur faire peur avec mes visions.
J'ai besoin de tes conseils, si cela ne te dérange pas.

Carlisle, je dois y aller. A toute à l'heure. me lança Edward avant de quitter la maison.

je lui répondis en hochant la tête, puis me retourna vers Zafrina.

Je vais bien dans la mesure du possible. J'ai dû quitter l'Amazonie pour te demander de l'aide. Les humains se rapprochent de plus en plus du coeur de l'amazonie et je ne pourrais pas indéfiniment leur faire peur avec mes visions.
J'ai besoin de tes conseils, si cela ne te dérange pas. me répondit Zafrina.


- Quoi, les humains se rapprochent de l'Amazonie, mince, ces humains et leurs idées, je regardais Zafrina avec un sourire, elle était toujours aussi charmante.

Il y avais bien longtemps que je ne l'avais pas vue, et elle n'avait pas changé, et je suis ravie qu'elle ait enfin accepter de me rendre visite, mais si elle la fait c'est quelle doit avoir un gros souci. Zafrina aime bien se débrouiller toute seule, et si elle vient me demander de l'aide, c'est quelle doit vraiment avoir besoins d'aide.

Je la regardais, et lui dit :

- Tu peux rester ici jusqu’à se que sa soit réglé. Je t'aiderais au mieux et te donnerais plein de conseils.On sera ravis de t’avoir parmis nous pour quelques temps ?

Je jeta un regard ma chère épouse :
- Ca te dérange pas ma chérie, Zafrina peut rester avec nous quelques temps ?

Je me retourna vers Zafrina, et lui dit :
- Veux tu que l’on en discute ici ou préfères tu que l’on aille en fôret se promener ?

Edward nous quitta - je ne sais pas trop où il allait, mon fils et ses secrets - en nous saluant poliment !

Zafrina et Carlisle étaient de se retrouver depuis ces nombreuses années passée loin l'un de l'autre. Notre invitée expliquait à mon cher mari - toujours aussi attentionné - la raison de cette petite visite.

Je vais bien dans la mesure du possible. J'ai dû quitter l'Amazonie pour te demander de l'aide. Les humains se rapprochent de plus en plus du coeur de l'amazonie et je ne pourrais pas indéfiniment leur faire peur avec mes visions.
J'ai besoin de tes conseils, si cela ne te dérange pas, lui expliqua t-elle.


- Quoi, les humains se rapprochent de l'Amazonie, mince, ces humains et leurs idées, lui répondit Carlisle.

Parmi ces mots, je dois avouer que j'étais perdue -Carlisle ne m'avait evoquait que brièvement cette période de sa vie - mais cela avait l'air plutôt préocupant. Mais pourquoi, je ne le savait pas.

- Tu peux rester ici jusqu’à se que sa soit réglé. Je t'aiderais au mieux et te donnerais plein de conseils. On sera ravis de t’avoir parmis nous pour quelques temps ?
Ca te dérange pas ma chérie, Zafrina peut rester avec nous quelques temps ? me demanda t-il.

- Bien sûr que non mon amour, tu sais combien j'aime recevoir ! Je vais vous préparer un petit coin à vous. répondis-je.

A cette idée je ne pû m'empêcher de penser à ma Rosalie, "un petit coin à vous" pour ne pas dire "chambre" cela serrais inutile puis ce qu'aucun d'entre "nous" en aurrai l'utilité, nous ne sommes pas humain.

En revanche il était normal d'offrir à notre hôte un endroit où elle pourrait se retrouver seule.

- Veux tu que l’on en discute ici ou préfères tu que l’on aille en fôret se promener ?

- Avec plaisir en plus je suis assoiffée et ça me permettra de te voir chasser, je suis curieuse d'éssayer.

Sur ce, Carlisle m'embrassa tendrement de nouveau avant de quitter la pièce en compagnie de sa vieille amie.

- Bien sûr que non mon amour, tu sais combien j'aime recevoir ! Je vais vous préparer un petit coin à vous me répondis Esmée

Je vois bien la gentillesse de ma très chère et tendre épouse que j'apprécie énormément. Je l'aime tellement que je ne voudrais pas la mettre en danger. mais j'ai confiance en Zafrina. Et tout va bien se passer.
sur se je m’approcha d'Esmée et lui donna un baissé sur ses douce lèvre.

Puis je me retourna vers Zafrina et lui dis :

- c'est bon zafrina, tu est prête, on va y aller.

Je tenais la porte d'entré pour laissé passer Zafrina.

Puis nous partîmes tous les deux en direction de la forêt.